Quand on s'y arrête, on constate que l'idéal de vérité et l'idéal de beauté sont incompatibles. Le monde environnant est chaotique et sans attrait: rien ou presque n'est naturellement sujet à photographie. Même quand on s'y attaque, on ne réussit à produire que très peu de bonnes photographies. Tout photographe surmonte néanmoins cette contradiction en misant sur le pouvoir de son viseur.